Parlons "energie"
Strictement tout dans l'univers est énergie : peu importe qu'il s'agisse de minéraux, de végétaux, d'animaux, de la terre ou d’autres éléments cosmiques.
Nous aussi, les êtres humains, sommes composés d'énergie. Bien entendu, nous avons notre corps physique, mais nous avons aussi notre corps énergétique.
Nos 7 principaux centres d'énergie sont appelés chakras. Ils portent une couleur particulière. Ils sont en lien avec les membres, organes et fonctionnalités situés sur sa zone et sont également en relation avec certaines attitudes et émotions.
Il existe des liens entre la gestion de nos émotions et les tensions du corps, entre l'attitude qu'on adopte face à la vie au quotidien et la bonne santé de nos centres d'énergies, entre certaines zones réflexes du corps associées à certains organes internes, entre les couleurs et l'influence qu'elles peuvent avoir sur le mental et le corps.
Dans nos cultures occidentales, notre dimension énergétique n'est que peu ou pas du tout prise en compte lorsqu'il s'agit d'appréhender notre bien-être.
Avez-vous remarqué que les approches classiques qui se penchent sur nos maux n'apportent pas toujours une réponse à nos souffrances ?
Avez-vous aussi remarqué que certains maux physiques dont nous souffrons sont en lien direct avec des émotions qui ont perturbé notre bien-être ?
Les approches classiques prennent essentiellement en considération les symptômes physiques (douleurs, tensions). C'est bien entendu impératif. Néanmoins, les soins énergétiques s'attaquent en profondeur à la source de ces symptômes physiques. Il peut s'agir de chocs émotionnels, de stress et plus généralement d'émotions négatives qui petit à petit nous rongent psychiquement et physiquement.
Sachant donc que le symptôme est la conséquence d'un déséquilibre énergétique pouvant générer une maladie, il paraît logique de s'attaquer aux mécanismes psycho-énergétiques parallèlement aux thérapeutiques médicales classiques. Ce n'est pas l'un ou l'autre, c 'est l'un et l'autre.
Il est essentiel de ne plus considérer le symptôme comme étant la source d'une maladie et de ne plus considérer la maladie comme le fait du hasard ou de la fatalité, mais comme un message de notre conscience à regarder et à traiter les choses plus en profondeur.